Mise en bocage des terres à valeur agricole et à vocation vivrière appartenant à la commune et incitation pour le foncier privé,

Le bénéfice de cette proposition est multiple :

  • Préserver ou réintroduire la diversité faunistique et floristique et le maintien des écosystèmes.
  • Améliorer la gestion de l’eau.
  • Créer des milieux donateurs.
  • Etc …

Mise à disposition des parcelles cultivables au profit des producteurs bio

Suivant convention, nous procéderons à la mise à disposition des parcelles cultivables appartenant à la ville (ou à faire appartenir à la ville), des réserves foncières en sommeil, au profit des producteurs bio, acteurs de la permaculture et de la biodynamie, par cession ou location. Ces réserves foncières à préserver ou à constituer – jusqu’ici plutôt promises à l’urbanisation – doivent constituer une ressource potentielle de denrées de base à destination de la future cuisine centrale, qui assurera pour tout ou partie les repas quotidiens des écoles (ALIMENTATION).


Par arrêté, une obligation sera faite pour procéder à l’agroforesterie sur l’ensemble du territoire communal (et par extension aux communes limitrophes appartenant à l’intercommunalité). Cette pratique permet l’abandon progressif des engrais chimiques, et d’assurer l’apport naturel de matière organique, le maintien de l’équilibre hydrique, la fertilité des terres jusque-là saignées à blanc dans le cadre d’une pratique de l’agriculture conventionnelle dans laquelle l’arbre avait perdu sa place.


La ville devra engager par cette démarche à l’échelle locale la réforme de l’agriculture conventionnelle et biologique (pas toujours très écologique).


Une réflexion sera menée pour la création d’un établissement d’enseignement supérieur en partenariat avec la Chambre de l’agriculture, les professionnels du secteur et le tissu associatif (ENSEIGNEMENT SUPERIEUR).